Blog, l'aventure continue...

Ne pouvant plus accéder à l'administration de mon ancien blog pour d'obscures raisons, je recommence l'aventure ici... ça tombe bien, changement de vie, changement de blog...


30 mars 2009

Je ne veux pas des machos!

Et non, donc je commence tôt à les inicier aux tâches ménagères!

29 mars 2009

Ressemblance

Il y a des gênes qui ne peuvent être niés! Valentin est batti sur le même modèle que son papa! Quant à voir des photos au même âge... hummm... que dire! Si ce n'est pour l'âge évident des photos, difficile de faire la différence!

28 mars 2009

Mes loulous sont amoureux...

Bah oui, ils se sont fait des petites copines à la plage, alors je vous les présente:
La douce Colomba, petite fille d'Emma, a enchanté Valentin, qui du coup s'est fait offrir par Beau Papa, pas mal de Media Luna (sorte de croissant sucré Argentin) fabriquées dans son restaurant... il était ravi, pensez donc!



Et Vincent avait un faible pour Jo, petite lutine coquine...

27 mars 2009

Une sortie au Parc

Je m'entends super bien avec une maman d'un p'tit gars de la classe de Vincent. Nous nous sommes vues plusieurs fois après notre retour de vancances et avant la rentrée, dont une mémorable sortie au Parc. Nous avons commencé par aller acheter qq trucs au supermarché pour le goûter avec toute la troupe (je gardais les voisins/jumeaux ce jour-là):
Puis au parc, les enfants ont trouvé une activité amusante... pour eux: s'embourber! C'est Valentin qui a ouvert le bal:
mais je vous rassure, les autres ont vite suivi!
Vincent n'y a pas échappé...
à la douche au jet non plus!

Quand on cherche, on trouve!

Bah oui, à force de chercher et d'explorer, on fini par trouver des tas de trucs sympas:
des pélicans:
un pingouin de Humboldt, échoué sur la plage, qui s'est un peu trop éloigné de sa colonie et qui attend d'être sauvé par la Brigade de protection des pingouins
des méduses... Vincent a adoré ces animaux et leur consistance, cherchant sans cesse des bouts de méduses pour jouer!
une étoile de mer, que nous avons sans cesse essayé de protéger en demandant aux enfants qui en trouvaient de les rendre à leur milieu naturel au lieu de les faire sêcher bêtement...
Un soleil de mer:
Un escargot, don l'habitant ressemble fort à un Bernard l'Hermitte:
Un zizi de mer... qui nous a bien fait rigoler! Il tire un jet d'eau dès que l'on s'approche (d'où son nom)... j'ai appris depuis qu'en français, ça s'appelle un concombre de mer... c'est moins drôle!
Un oursin:
Et un animal plus inattendu: des chevaux! Valentin a voulu aller les carresser, et quand le policier lui a demandé s'il aimait les chevaux, il a répondu:
Oui, mais je n'en ai pas chez moi! Genre, tu ne voudrais pas me donner le tien! lol

26 mars 2009

Le biberon...


Un petit texte trouvé qui remet à sa place ce qu'est le biberon:

IL ETAIT UNE FOIS UN PETIT GARCON QUI SOUFFRAIT D'INCAPACITE PERMANENTE

Il ne pouvait plus marcher. La nécessité étant la mère des inventions, sa famille lui organisa une simple paire de bâtons de bois pour l'aider à se déplacer. Ces bâtons le soutenaient aux aisselles et avaient l'air bizarre, mais ils faisaient tout de même l'affaire. On nomma ce dispositif "béquilles".

D'autres remarquèrent que c'était une bonne idée et une sage invention, et ce ne fut pas long avant que ce dispositif ne soit adopté par des personnes souffrant de problèmes temporaires et moins sérieux. On remarqua aussi que ce dispositif possédait l'avantage très net de permettre aux jambes de se reposer. par conséquent, les personnes que la marche fatiguait aisément se mirent à les utiliser, elles aussi. Les béquilles devinrent tellement populaires que des promoteurs en mal de nouveaux marchés et des manufacturiers en débutèrent la production en série, et firent la publicité sur une large échelle. On en fabriqua pour tous les goûts : attrayantes, jetables, décorées ou non. De pleines pages publicitaires clamaient audacieusement : CE SONT PRESQUE DE VRAIES JAMBES !

Les gens en vinrent à croire que l'usage des béquilles et la marche étaient synonymes. La popularité des béquilles et la propagande en leur faveur augmentèrent à tel point que plusieurs médecins se mirent à recommander l'usage des béquilles au lieu de la marche pour prévenir les cors et les durillons aux pieds, car ces derniers représentaient des maux affligeant uniquement les marcheurs. Ces médecins pensaient aussi que toute personne souffrant de verrues ou de contusions légères aux jambes ou aux pieds devait immédiatement arrêter de marcher. Bientôt les médecins virent de moins en moins de patients qui marchaient. En fait plusieurs d'entre eux ne voyaient que très rarement un marcheur.

Les gens commencèrent à croire que la capacité de marcher était reliée à la grandeur des jambes et il fut admis que cela ne donnait rien de bon d'essayer de marcher, puisque "la plupart des gens ne le peut pas de toute façon". On saluait les béquilles comme une nouvelle étape scientifique. Les vieux se rappelaient avoir marché, mais ajoutaient rapidement qu'ils l'avaient fait par nécessité car, dans leur temps , ils n'avaient pas le choix.

Les jambes devinrent un symbole sexuel, un ornement inutile à ne pas mentionner devant les hommes. Il y en avait beaucoup qui ne voulaient pas marcher car ils craignaient que cet exercice ne déforme leurs jambes. Les pauvres refusaient de marcher, même s'ils pouvaient difficilement se permettre les béquilles, parce qu'ils ne voulaient pas être différents de la classe moyenne. Le problème pris suffisamment d'ampleur pour justifier le gouvernement de pouvoir les pauvres d'autant de béquilles qu'ils en avaient besoin, par l'intermédiaire de programmes de bien-être social pour aider ces handicapés.

Les lieux publics étaient aménagés pour les usagers des béquilles et les marcheurs trouvaient de plus en plus difficile de se déplacer ou même de se faire accepter comme tels. les subversifs qui s'entêtaient encore à marcher et qui se justifiaient sur une base "naturelle" ou "thérapeutique", étaient considérés comme primitifs et parfois même obscènes.

Il était une fois un nouveau-né et à cause de circonstances spéciales, il fut séparé de sa mère. Comme on ne pouvait trouver de nourrice pour en prendre soin, on inventa un dispositif permettant de l'alimenter. Ce dispositif fut appelé "biberon"....

Le bus, c'est la joie!

Ahhh oui, nous on aime prendre le bus! Le bus en province, c'est quelque chose!
Déjà, c'est un petit bus! Sa destination est affichée par des panneaux:
On y paye au chauffeur en fonction du lieu où l'on monte et celui où on descend, d'où plein de billets:
Mais c'est de toutes façons un bon moment



25 mars 2009

Le zoo s'agrandit

Oui, chez nous, ça ressemble à un zoo parfois... au retour des vacances, nous étions servis! Une petite chatte ramenée de Puchuncavi, 3 chiots nés de notre chienne le 7 Février donc pendant notre absence... un zoo je vous dis!
A 11 jours:
à 18 jours:
Dans le coin, il y avait aussi Narizita, notre chatte, toute fraiche venue (avec nous, je vous rassure) de Puchuncavi (et oui, c'est qui l'imbécile qui a offert un chat le jour de notre départ à Vincent qui ne rêvait que de ça, hein, c'est qui? Un voisin de l'immeuble! Merci à lui!)
Ceci dit, Narizita a commecé à découvrir notre chienne, Lulu, Labrador très bien dressée par Machin:
Puis à connaitre les chiots quand ils ont commencé à ouvrir les yeux et donc à sortir:

même si leur maman les surveillait de très près:

Mais bon, les chiens, les chats, tout ça, c'est que des bêtises:

Le café

Le café, je vous en ai beaucoup parlé, je vous le montre: un petit paradis au milieu de la plage,
un havre de calme,
un pagode style tahitien,
avec quasi, les pieds dans l'eau!
Ce rêve, celui de travailler tout en ayant l'impression d'être en vacances, je le dois à Emma et Roro, qui ont confié en moi, quand je leur ai proposé de travailler, puis de leur emmener du personnel qu'ils ne connaissaient même pas!
De quoi s'agit-il quand on parle de travailler dans un café de la plage: ben, d'un travail de café, d'abord: servir les tables et préparer leur commande...
... recevoir tous les gens qui se présentent, soit pour acheter, soit pour poser les questions les plus insolites (sisi, après presque deux mois, je suis convaincue que pour l'année prochaine, je devrais emmener qq qui soit spécialiste en Météo, qui connaisse Maitencillo par coeur, sache parler 5 langues et soit un sereur et cuisinier hors pair!):
Le fait d'être le concessionnaire de la plage implique quleques obligations: en faire un endroit agréable, c'est-à-dire installer des chaises longues sous d'agréables parasols (le tout étant à la location)...
qu'il faut installer et remballer chaque jour...
et le nettoyage de la-dite plage, bah oui, la protection de l'envirronement, au Chili ça n'est pas dans les moeurs... jugez par vous même!

Et encore, je ne vous mets pas de photos des innombrables bouteilles cassées dans les rochers, qui oligent les enfants à n'explorer qu'avec des chaussures, au risque de terminer aux urgences!
Ce merveilleux séjour s'est terminé par une fête gargantuesque, où Roro s'est affiché, fier de son équipe de choc:
Une bonne soirée en tous cas!

24 mars 2009

Des enfants différents

Je voulais partager ce texte avec vous, je le trouve magnifique, et même s'il a été conçu pour expliquer les ressentis des parents d'enfants différents, je le trouve adapté pour décrire la maternité en général!... Il est de Cindi Rogers, maman de deux enfants X- fragiles

On m'a souvent demandé d'expliquer ce que cela fait d'élever un enfant handicapé et d'essayer d'aider ceux qui n'ont pas partagé cette expérience unique à la comprendre, à imaginer comment cela peut être ressenti.

Quand vous allez avoir un bébé, c'est comme si vous faisiez le projet d'un fabuleux voyage en Italie.
Vous achetez un tas de guides et vous faites de merveilleux projets : le Colisée, le David de Michel Ange, les gondoles à Venise. Vous apprenez même quelques phrases toutes prêtes en italien, c'est très enthousiasmant.
Après des mois d'attente impatiente, le grand jour arrive. Vous bouclez vos bagages et vous partez. Quelques heures plus tard l'avion se pose, et le steward annonce : “ Bienvenue en Hollande ”.
La Hollande ?!?! ” dites-vous. “ Pourquoi la Hollande ? J'ai réservé pour l'Italie ! Toute ma vie, j'ai rêvé d'aller en Italie ! ” - Mais il y a eu un changement dans le plan de vol.
On vous a fait atterrir en Hollande et vous devez y rester.
L'important, c'est qu'on ne vous ait pas conduit dans un endroit horrible, plein de nuisances, où règnent la famine et toutes sortes de maux, c'est seulement un lieu différent.
Aussi, vous êtes obligés d'aller acheter de nouveaux guides, d'apprendre une toute autre langue et de rencontrer des groupes de personnes que vous n'auriez jamais rencontrés.
C'est seulement un autre endroit, moins coté que l'Italie, moins idyllique que l'Italie, mais une fois installé et après avoir repris votre souffle, vous regardez autour de vous, et vous commencez à remarquer que la Hollande a des moulins à vent, que la Hollande a des tulipes et que la Hollande a aussi des Rembrandt.
Mais tous les gens que vous connaissez vont ou reviennent d'Italie et se vantent des moments merveilleux qu'ils y ont passé. Et tout le reste de votre vie vous direz : “ oui ! c'est là que je voulais aller, c'est le projet que j'avais fait ”.
Cette souffrance ne s'en ira jamais, parce que la perte de ce rêve est vraiment une très grande perte.
Mais si vous passez le reste de votre vie à pleurer parce que vous n'avez pas vu l'Italie, vous ne serez jamais libre d'apprécier pleinement toutes les choses très particulières et très attachantes qu'il y a en Hollande.

Merci les copinautes

J'en avais déjà parlé , les copinautes c'est pas pour de faux comme le croient certains!
Preuve en est, les deux colis que j'ai reçus de la part de copinautes!
Estelle d'abord, qui m'a envoyé juste après Noel le colis suivant:
Wouhahouuuuuu, je ne vous raconte même pas comme je me suis gavée de fraises tagada! Deavant l'abondance, j'ai quand même accédé à en partager un paquet avec mes enfants! Bah oui, faut pas pousser non plus! Merci Estelle, de tout coeur, merci!

Et puis au retour des vacances, j'ai trouvé dans la boite un avis de passage du facteur... après vérification, pas de colis en transit de ma maman, euhhh de quoi pouvait-il bien s'agir?
Ouchhhhhhhhhhhhh! Un colis d'une copinaute qui a fait des heureux!
Moi d'abord, avec des bonbons Haribo (c'est un vice cette histoire), pas partagés ceux-là, un pot de terrine de Canard qui attend la bonne occasion pour se déguster:


Des jouets pour les enfants, dont un super camion et autres Playmobil adoptés de suite...
... comme vous pouvez le voir:

Et un pot de Nutella, qui a été dévoré par nous trois:
Merci Delphine, je te l'ai déjà dit, c'est vraiment un trésor d'avoir des copines comme toi!

A la plage

Allez, une petite vidéo des enfants à la plage:

23 mars 2009

Sabor a Ciboulette


Ça c'est ma boite. Ou en sommes-nous? Après ces mois d'inactivité, mon associé Trucmucelo (je vous rassure, c'est pas son vrai nom!), m'a annoncé qu'il avait trouvé du boulot! Okayyyy! Et je fais quoi moi? Après une semaine de peur au ventre, je me suis dit qu'en fait, ça n'était pas si terrible, et que je pouvais parfaitement m'en sortir toute seule... abh oui, quoi, j'ai déjà une merveilleuse voiture! Reste à passer le permis, et puis le reste, bah j'en suis plus que capable! Me voilà toute reboostée donc, prête à partir pour une nouvelle aventure! Pour l'instant Trucmucelo continue à faire les évênements avec moi (bah oui, on a quand même des impôts de la boite a payer), ensuite, à moi les rennes, et surtout tous les bénéfices! 2009 devrait voir mes finances s'arranger!
Nous avons déjà fait quelques évênements, j'ai des devis tirés à de nouveaux clients, et j'ai repris le blog de la boite (ne vous fiez pas aux dates, c'est du trucage)... une bonne année qui s'annonce!

Les vacances des enfants

Grâce à nos deux super baby-sitter, les enfants ont passé des vacances fantastiques. Je vous les présente, Yvette et Waleska, l'une étudiante en droit, l'autre en théatre, qui ont fait des journées de mes bambins de véritables aventures,
les accompagnant au spéctacle,
ou les aidant à faire des châteaux à leur famille de crabes (sêchés, je vous rassure)!
Ceci dit, l'exploration, c'est quand même l'activité préférée de mes bambins:
à pieds secs...

ou mouillés...
et surtout de mon grand qui ne s'est pas lassé d'explorer ces rôchers

... alors que Valentin laissait parfois l'exploration pour des activités plus... routières!
Enfin, la plage, c'est quand même aussi la mer où, si on est un peu tête brulée ou Hollandais, on peut se baigner:
Voire nager (mais là, il faut carrément des gènes de pingouin!):
pour ensuite faire la Star, casquette vissée et lunettes de soleil bien ancrées sur les oreilles!
D'autres ont aussi participé au bon déroulement de ces vacances...
moi, d'abord, qui ai pris tous mes Dimanche pour être avec mes bambins et faire des sorties au restaurant, par exemple...
Byron et Oscar, les petits copains de Puchuncavi, qui les ont accompagnés plusieurs fois...
Et d'autres participants plus inattendus: OMO et leur jeux d'été (il paraît d'ailleurs que Vincent apparait dans une de leur pub maintenant... heink!)... qui malheureusement n'acceptaient pas les enfants de moins de 5 ans...
et donc Valentin a été aux jeux gonflables pendant ce temps (payant eux!)
La patrouille acrobatique du Chili s'y est mise aussi... choississant notre plage pour un show impressionnant...

Sans oublier Axel, notre colocataire après notre changement de logement (et oui, pour des problèmes d'organisation, nous avons décidé avec Valeria de changer maison/appart à la moitié de notre séjour), qui a descendu sur son pc, des films pour les enfants (qui étaient depuis un mois sans télé, dûr dûr!)
Merci à eux donc d'avoir permis à ces petits anges d'avoir passé des vacances inoubliables!